Quoi de plus agréable en hiver que d’être confortablement installé en face de son poêle, dans votre fauteuil, le chat sur les genoux, une musique douce dans les oreilles, bien au chaud, au cœur de nos Ardennes dans votre chalet de campagne.
Le poêle symbolise la détente, le cocooning et reste un objet tendance. Mais peut-on considérer ce mode de chauffage comme une réelle alternative ?
Le plus important est de se faire aider d’un installateur et technicien compétent lors de l’achat, de l’installation mais également pour l’entretien annuel de l’appareil. Le professionnel doit venir à votre domicile afin de réaliser une étude technique et vous former à l’utilisation de l’appareil.
La puissance de l’appareil est un paramètre à ne pas négliger. Les modèles ventilés et canalisables vous permettront de diffuser la chaleur dans plusieurs pièces tandis qu’un modèle à convection naturelle sera réservé aux habitations de tailles modestes.
Se chauffer aux pellets, c’est utiliser un combustible économique et durable (si il est labélisé FSC ou PEFC). Encore faut-t-il bien choisir ses pellets.
De nombreux paramètres sont à considérer pour obtenir un bon rendement et faire durer votre poêle plus longtemps : le calibre, le pouvoir calorifique, le taux d’humidité et la teneur en cendres.
Les normes DIN+, Önorm et NF existent pour vous garantir des pellets de qualité.
Les prix des poêles à pellets sont très variables, il vaut mieux éviter les produits premiers prix.
A partir de 3500€, vous trouverez des appareils haut de gamme, en fonte, silencieux et simple d’utilisation. A ce prix votre appareil aura une durée de vie de plus de 20 ans là ou un modèle premier prix durera difficilement plus de 10 ans.
Compter également de 500€ à plus de 1000€ pour l’installation. Chaque année, il faudra ajouter les coûts liés à l’entretien (entre 100 et 200 euros) ainsi que le ramonage de la cheminée. Quant aux pellets, un sac de 15kg coute en moyenne 5€ et vous permettra de chauffer pendant 24 heures.